En juin 2024, cinq nouvelles chroniques sont à lire sur DCDL. Elles sont accessibles d’un simple clic sur les images ci-dessous.
Dans la première, je présente l’œuvre du développeur indépendant barcelonais Octavi Navarro, auteur notamment de l’excellente série de point-and-click horrifiques Midnight Scenes.
Dans la seconde, je traite de Children of the Sun, le puzzle-game balistique très original du développeur berlinois René Rother. Il s’agit de son premier jeu et c’est un coup d’éclat !
Dans la troisième, j’évoque Arise: A Simple Story, un platformer onirique des développeurs barcelonais (encore) de Piccolo Studio. Un voyage mélancolique dans le temps à travers d’enchanteurs paysages nordiques.
Dans la quatrième, je parle de Cryptmaster, un dungeon crawler à la sauce word-puzzler, revisite d’un genre datant du siècle dernier, par Lee Williams et Paul Hart.
Dans la dernière, je vous propose de plonger dans Duck Detective: The Secret Salami, un jeu d’enquête mettant en scène un canard anthropomorphe drogué au pain.
Bonjour à tous ! J’ai le plaisir de vous annoncer que je viens d’obtenir ma première interview d’un développeur indépendant ! Il s’agit de l’auteur et voice actor britannique Lee Williams, co-créateur de Cryptmaster, un dungeon crawler à base de word puzzles à l’ambiance incroyable. L’article sur le jeu et l’interview sont à lire ici :
J’ai chroniqué durant ce premier mois d’existence de DCDL quatre jeux indépendants. Vous pouvez lire les articles correspondants en cliquant sur les images ci-dessous. Bonne lecture et bon jeu !
Avis à tous les escrimeurs (et aux autres) ! Des Clics & des Lettres accueille une nouvelle rubrique ! Je tenais il y a quelques années, avant de me lancer dans l’écriture de mon premier roman Les Lames Sauvages en juillet 2013, un blog dans lequel je présentais principalement des livres et des films sur l’escrime. Il était un peu tombé dans l’oubli. Pour le faire renaître, j’ai repris tous mes articles de l’époque, les ai remis en forme et les ai intégrés à DCDL. Ils sont accessibles dans la rubrique « Escrime » du menu. Bonne lecture !
Dans In-Game, sous-titré Les Confessions d’une Hexaddict, Lucie, l’héroïne, est une jeune étudiante en classe préparatoire studieuse et sans reproche, entièrement concentrée sur un sacro-saint objectif : intégrer une grande école d’ingénieurs. Ses deux meilleures amies, ses parents, ses enseignants, personne ne soupçonne que tout cela n’est plus, depuis des mois, qu’une apparence qu’elle tente tant bien que mal de préserver. C’est un horizon bien moins conventionnel qui occupe son esprit et mobilise l’essentiel de son énergie, ainsi qu’une grande partie de ses nuits. Lucie perd peu à peu contact avec le réel. Elle est tombée amoureuse d’un autre monde. Accro, droguée au virtuel, elle est devenue la prisonnière consentante d’une réalité parallèle. Lucie est une Hexaddict.
Ce sobriquet, c’est celui dont les journalistes ont affublé les cinquante millions de joueurs engagés dans la partie la plus médiatique de toute l’histoire du jeu vidéo. Lords of the Hexagon est un jeu de tir en vue à la première personne de type battle royale. Chaque joueur monte dans un avion et décide de sauter dès qu’il le souhaite, équipé d’un parachute, sur un point de l’aire de jeu de son choix. Là, il doit chercher dans son environnement de quoi survivre. Armes, protections, soins… Les joueurs s’affrontent jusqu’à ce qu’à la fin il n’en reste plus qu’un. Et il y a de quoi avoir envie de s’investir, car un prix de dix millions d’euros, au terme d’une année de combats acharnés, attend le vainqueur.
La partie dure un an et se déroule sur la carte de France reproduite à l’échelle 1:1. Régulièrement, la zone de jeu se réduit, poussant les joueurs à se rencontrer et à se battre. Lucie joue aux côtés d’un petit groupe d’amis en ligne dont elle ne connaît que les pseudonymes et les voix derrière les micros. Pour survivre, les alliances sont vitales. La dimension sociale est un point clé du jeu, même si chacun finira par devenir l’ennemi de ses alliés. La concurrence est rude. La victoire, plus qu’improbable. C’est elle, pourtant, la gagne, qui motive Lucie, bien plus que la perspective d’empocher un gros chèque. Mais pas que. Plus elle se détache des exigences de son quotidien d’étudiante, plus Lucie se sent vivante. L’vresse e-sportive, la chaleur humaine de sa petite tribu qui, sans même connaître ni son vrai nom, ni son âge, ni son visage, sait qui elle est vraiment au fond d’elle, l’amour peut-être, voilà tout ce qui pousse Lucie à revenir sur le champ de bataille, toujours plus d’heures chaque jour, au détriment de tout le reste.
Dans In-Game, je brosse le portrait d’une gameuse des années 2020. Intelligente, déterminée, égarée peut-être, mais avide d’explorer et de conquérir un univers flambant neuf, copie sublimée d’une réalité parfois trop fade. Le risque en vaut-il la chandelle ? Je vous laisse le découvrir ici !
Je m’appelle Florian et je suis un auteur et traducteur indépendant. Bienvenue sur mon site ! Il se divise en deux parties principales. Une première où je présente mes travaux (romans, traductions, nouvelles et quelques poésies) et une seconde dans laquelle je tâcherai de mettre en avant à peu près un jeu vidéo indépendant par semaine en accompagnant chaque fiche, lorsque cela sera possible, d’interviews des développeurs. Je traiterai à la marge de quelques autres de mes passions, à savoir l’escrime, la SF et les langues vivantes.
On attaque aujourd’hui avec le jeu Sheepy: A Short Adventure, un platformer post-apo en pixel art de toute beauté que vous pouvez installer gratuitement sur Steam ou télécharger sur itch.io. Bonne lecture ! Il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessus, sur l’image ci-dessous ou de vous rendre dans le menu dans la rubrique Jeux Indés.